Alors que la vague des pré-inscrits issus des titulaires d’un BRM 300 en 2022 est presque achevée, on constate une confirmation des impressions déjà fournies par la vague des BRM 400 :
Une nette diminution du nombre de pré-inscrits issus de cette vague, par rapport aux vagues antérieures. Cette chute s’explique aisément par le fait que beaucoup de randonneurs motivés se sont pré-inscrits tôt avec des BRM longs.
Une stabilité de la part des femmes qui ne décolle pas de 7 % avec une part des pré-inscrites françaises encore moindre, qui s’en tient à 5 % de l’ensemble des pré-inscrits de nationalité française.
Aussi, une presque égalité chez les participants français, entre néophytes et récidivistes.
Par rapport à l’édition précédente, au même stade d’avancement, on dénombre un effectif de 219 pré-inscrits supplémentaires, mais la répartition de ceux-ci est très différente selon la nationalité :
471 pré-inscrits de plus pour les français
252 pré-inscrits de moins pour les étrangers.
Il est probable que cette tendance va se poursuivre avec l’ouverture des préinscriptions aux titulaires d’un BRM 200, puis ensuite à tous, même sans BRM en 2022. La décision de s’inscrire, sans avoir trop préparé le déplacement, est en effet bien plus facile pour les nationaux français, que pour ceux qui viennent d’Asie, d’Amérique ou d’Océanie.
Enfin les vagues de départ se remplissent normalement. À noter que les vagues G, H, I, J compteront à peine 10% de participants français, tandis qu’ils constitueront environ la moitié des vagues C, D et E.
Alain Collongues (ACP)